Développement économique
8.1 Que
devrait faire la Municipalité pour :
a) soutenir le projet de l’Éco-village (on
devrait dire plutôt l’éco-quartier) ?
Daniel
Bourassa : fournir les services, bon pour la
densification
Renald Grenier : Il faut soutenir et approuver le développement possiblement en accordant un crédit de taxes pour toutes nouvelles constructions, on pourrait développer un programme avec éthique, transparence et sans conflit d’intérêt, comme il en existe ailleurs. C’est très important de développer ce quartier car ceci nous permettrait d’augmenter les revenus de la municipalité.
Ça reste à regarder.
Par contre je suis toujours d’avis que c’est au promoteur de compléter
les infrastructures.
Jacques
Lachance : Il y a déjà eu des discussions à ce
sujet, le projet suit son cours, car il y a une possibilité d’un bon
développement.
Claude Mayrand : En ce
qui concerne l’éco-quartier il faut continuer la discussion avec la SENC De
feuilles en aiguilles pour la construction de chemins, sans chemins il n’y aura
aucun développement.
Renald Grenier : Pour favoriser la venue des nouvelles familles on pourrait instaurer un programme de crédit de taxes aux nouvelles constructions (2 à 3 ans), toujours en fonction de notre budget.
Jean-Thomas Nadeau : Créer une coopérative.
d) favoriser le développement de nouveaux commerces ou la croissance et l’amélioration des commerces existants ?
Daniel Bourassa : Aménagement invitant pour le cœur du village.
Renald Grenier : Faire de la publicité, mettre en valeur notre village (fleurs, décoration), utiliser les medias sociaux, créer des évènements rassembleurs. Ex. : exposition de voitures antiques.
Jean-Thomas
Nadeau : Aider les commerces existants en
révisant les taxes, en apportant des projets d’expansion et si possible, une
exemption de taxes pour la première année d’activités… surtout y mettre la volonté
de faire les choses…
Claude McManus : Je ne crois pas qu’un tel projet soit une priorité pour St-Mathieu. Il peut se présenter une opportunité, mais la municipalité ne doit pas investir indûment dans un tel projet. Pour ma part, je ne crois pas sage de doubler les services avec Shawinigan, cette dernière étant située tout proche de nous. Il serait plus profitable pour nos citoyens, de leur offrir des services complémentaires comme par exemple un service de transport collectif adapté à notre localité pour se rendre à Shawinigan.
Claude Mayrand : Tout est possible si on y met le prix (local gratuit tout aménagé et une entente de compensation monétaire car ils sont payés à l’acte).
Jean-Thomas Nadeau : Je m’en fais une priorité. Pour ce faire, j’irai consulter les autorités médicales et municipales afin de m’informer des démarches à suivre pour implanter un tel service qui est essentiel à toute municipalité qui se respecte.
Johanna
Laflamme : D’abord, on devra mettre sur pied un
plan d’urbanisme afin de construire un réseau routier adéquat.
Josée
Magny : Une première
approche a été faite avec les résidents de l’éco quartier afin de trouver une
solution pour continuer le développement de ce projet. Par contre, ceci doit
absolument passer par la création du chemin.
Claude
McManus : Ce projet me semble important pour
le développement de notre village. Actuellement plusieurs terrains ont été
vendus, mais il n’y a pas de routes d’accès. C’est la même situation pour les
quelques trente terrains encore à vendre. Si l’on veut que ce secteur se
développe, il sera nécessaire que la municipalité s’implique en ce sens.
Toutefois, des discussions doivent se tenir avec les gens de l’éco-quartier
pour définir exactement les règles de construction et les enchâsser dans un
plan d’aménagement d’ensemble et pour définir ensemble le type de partenariat à
exercer. Je pense aussi qu’il y aurait lieu d’évaluer la pertinence d’installer
un réseau de traitement des eaux usées commun, considérant le nombre important
de résidences supplémentaires qui risquent de voir le jour.
Jean-Thomas
Nadeau : D’abord, on devra mettre sur pied un
plan d’urbanisme afin de construire un réseau de rues adéquat.
b) favoriser la venue de nouvelles familles
?
Daniel
Bourassa : Le gymnase à venir est un excellent
moyen.
Renald Grenier : Pour favoriser la venue des nouvelles familles on pourrait instaurer un programme de crédit de taxes aux nouvelles constructions (2 à 3 ans), toujours en fonction de notre budget.
Jacques
Lachance : Oui, analyser les possibilités à
accorder.
Johanna
Laflamme : Publiciser l’Eco-quartier dans les
médias.
Josée
Magny : Soutenir notre
école, le gymnase est aussi un incitatif intéressant pour les jeunes familles.
Maintenir un camp de jour sécuritaire et abordable, je pense aussi que la
municipalité lors de ce nouveau mandat devrait se doter d’une politique
familiale.
Claude
McManus :
Claude Mayrand :
Mais
pour se faire ça prend des attraits, et nous en avons plusieurs, école
alternative de bonne réputation, la construction d’un gymnase, un centre
communautaire, amphithéâtre naturel, de
nombreux sentiers pédestres, une nature sans pareil avec de nombreux lacs, un
environnement exceptionnel dans un milieu sécuritaire.
Jean-Thomas
Nadeau : Publiciser l’éco-quartier dans les
médias.
c) favoriser l’établissement d’un poste
d’essence ?
Daniel
Bourassa : Pas facile compte tenu du fait que
la plupart des stations d’essence s’établissent avec un dépanneur donc on ne
peut privilégier un commerce par rapport à un autre. On ne peut se substituer à
un entrepreneur.
Renald
Grenier : Il faut rechercher un promoteur,
possiblement offrir un crédit de taxes pour quelques années.
Jacques
Lachance : La Municipalité est loin d’être
contre, mais comme ailleurs, il faut trouver un promoteur qui veut investir.
Johanna
Laflamme : Créer une coopérative ou autre.
Josée
Magny : Lors d’une
formation que j’ai suivie en urbanisme sur les Pia (plan d’intégration
architectural) et la revitalisation du noyau villageois, j’ai constaté que
plusieurs autres municipalités avaient ou rencontraient les mêmes problèmes que
nous à ce niveau. Certaines d’entre elles ont eu la volonté d’y remédier en
instaurant des incitatifs financiers ou autres solutions sous forme de projets.
Ceux-ci se sont relevés et ont revitalisé leur village de façon importante.
Cette formation m’a grandement inspirée. Je ne peux vous exposer tous les
détails de celle-ci, mais il y a là un beau projet à développer afin de
favoriser le développement et l’amélioration de notre noyau villageois.
Claude
McManus :
Claude Mayrand :
La
municipalité peut apporter tout le support nécessaire auprès du CLD ou de la
SADC à toute personne demandant son aide, mais ne peut pas intervenir
financièrement sous quelque forme que ce soit. Pour cela il faudrait avoir une
corporation de développement et nous n’en avons pas.
De plus ce
genre de commerce exige beaucoup de volume en vente d’essence pour être
rentable, il faut obligatoirement qu’il soit jumelé à un autre commerce.
Jean-Thomas Nadeau : Créer une coopérative.
d) favoriser le développement de nouveaux commerces ou la croissance et l’amélioration des commerces existants ?
Daniel Bourassa : Aménagement invitant pour le cœur du village.
Renald Grenier : Faire de la publicité, mettre en valeur notre village (fleurs, décoration), utiliser les medias sociaux, créer des évènements rassembleurs. Ex. : exposition de voitures antiques.
Jacques
Lachance : Pour le développement de nouveaux
commerces, il faut les attirer avec des articles positifs dans les journaux, et
montrer que l’on est uni entre nous, pour la croissance, il faut autant que
possible encourager le local et le faire connaître.
Johanna
Laflamme : Aider les commerces existants en
révisant les taxes, en apportant des projets d’expansion et si
possible, une exemption de taxes pour la
première année d’activités…surtout y mettre la volonté de faire les
choses…
Josée
Magny :
Claude
McManus : Concernant ces trois éléments, je
crois qu’il est possible de mettre en place des incitatifs pour attirer des
nouvelles familles et nouveaux commerces. Par contre, le développement de
l’Éco-quartier, de Bicolline et de L’Art de vivre risque beaucoup plus de
motiver les investisseurs à venir s’implanter à St-Mathieu-du-Parc. Plus le
développement sera important, plus les besoins de commerces de proximité se
feront sentir et deviendront attrayants pour un investisseur.
Claude Mayrand :
Le
conseil pourrait envisager un congé de taxe sur une certaine période.
Pour attirer
de nouveaux commerces il faut créer un climat
et une atmosphère de positivité et on est loin d’être rendu là. Attitude
de certains commerçants déjà en place fait en sorte qu’ils éloignent les
investisseurs.
8.2 Croyez-vous
qu’il serait possible de doter la Municipalité d’un dispensaire où les citoyens
pourraient avoir accès aux services d’un infirmier ou d’une infirmière quelques
jours par semaine pour des soins de première ligne ? Si oui, quelles démarches
comptez-vous faire pour qu’un tel projet voie le jour ?
Daniel
Bourassa : Honnêtement, ça ne fait pas partie
de mes compétences.
Renald
Grenier : Oui ce serait souhaitable, mais
c’est la venue d’un médecin qu’il faut encourager. On pourrait essayer de faire
une coopérative comme d’autres villages l’ont fait.
Jacques
Lachance : Oui, j’ai parlé d’une solution
possible avec le conseil, première démarche, voir quels médecins seraient
intéressés et il y a des solutions.
Johanna
Laflamme : L’idée est intéressante mais
considérant qu’il y a déjà un dispensaire à St-Elie (8 kilomètres de
Saint-Mathieu) il n’y a pas urgence pour ce projet.
Josée
Magny : oui, je pense que
le meilleur endroit pour allez chercher l’information serait le centre de santé
et services sociaux de l’énergie CSSS.
Claude McManus : Je ne crois pas qu’un tel projet soit une priorité pour St-Mathieu. Il peut se présenter une opportunité, mais la municipalité ne doit pas investir indûment dans un tel projet. Pour ma part, je ne crois pas sage de doubler les services avec Shawinigan, cette dernière étant située tout proche de nous. Il serait plus profitable pour nos citoyens, de leur offrir des services complémentaires comme par exemple un service de transport collectif adapté à notre localité pour se rendre à Shawinigan.
Claude Mayrand : Tout est possible si on y met le prix (local gratuit tout aménagé et une entente de compensation monétaire car ils sont payés à l’acte).
Jean-Thomas Nadeau : Je m’en fais une priorité. Pour ce faire, j’irai consulter les autorités médicales et municipales afin de m’informer des démarches à suivre pour implanter un tel service qui est essentiel à toute municipalité qui se respecte.
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