25 octobre 2013

Aménagement du territoire ?


Aménagement du territoire

7.1       Considérant que la Municipalité a acquis les terrains du secteur de la Montagne (ancien centre de ski Saint-Gérard-des-Laurentides), que considérez-vous que la Municipalité devrait maintenant faire dans ce secteur ?

Daniel Bourassa : pas d’idée précise pour le moment.

Renald Grenier : Il est primordial de fournir l’eau potable aux citoyens de la montagne. Il faut s’assurer que le ministère de l’environnement est en accord avec le positionnement et le forage des puits.


Maintenant que le projet est amorcé il faut continuer nos efforts à trouver une solution équitable qui respecte l’environnement et qui assurera l’approvisionnement permanent, sécuritaire, en toute quiétude pour les résidents, à un coût acceptable.

Cette saga a assez duré.

Jacques Lachance : Sécuriser l’eau potable, c’est urgent, donner à contrat la station d’épuration des eaux usées à partir du 15 de mai, puisque l’on a le permis, garder ce que l’on a besoin et se départir de la balance par la revente.

Johanna Laflamme : Ce dossier devra être une priorité pour le nouveau Conseil.

Josée Magny : Prochaine étape il faut consulter les gens.

Claude McManus : L’acquisition de ces terrains a été réalisée dans le but de devenir propriétaire d’un puits important en bas de la Montagne, d’un accès pour installer une conduite afin d’alimenter notre réservoir en haut de la Montagne, et devenir propriétaire du terrain du puits en haut de la Montagne. Dans cette transaction, plusieurs éléments étaient inclus dont les anciennes bâtisses, un lot à bois et les garages en haut de la Montagne. Cet achat devrait nous permettre de garantir l’approvisionnement en eau pour les gens de ce secteur. Je compte tenir une rencontre d’informations avec les gens impliqués aussitôt que possible en début de mandat. Par la suite, c’est avec les gens de ce secteur que les décisions seront prises pour l’utilisation de cette nouvelle acquisition.

 Claude Mayrand : Il faut regarder et analyser tous les projets qui nous seront présentés. On peut conserver une grande superficie de terrains et vendre les bâtisses pour soulager le fardeau fiscal de ces résidents.

Jean-Thomas Nadeau : Je ne connais pas du tout ce dossier, pour ce que j’en sais il me paraît très complexe.

7.2       La Municipalité est toujours dépourvue d’un véritable réseau de pistes cyclables la liant aux municipalités voisines et sillonnant son territoire.  Quelles sont vos intentions à cet égard ?

Daniel Bourassa : Des progrès ont été faits en ce sens. Faut dire que la population a été échaudée dans le passé.

Renald Grenier : Si c’est possible on fera quelque chose.

Selon des informations qui m’ont été transmises, l’argent des subventions gouvernementales pour la réalisation de cette piste cyclable aurait déjà été dépensé avant la conclusion des ententes avec les propriétaires de terrains privés.

Il faudrait revoir le projet, faire l’évaluation des trajets proposés et entreprendre de nouvelles négociations avec les propriétaires des terrains privés.

Jacques Lachance : Comme vous le remarquerez, en ce qui concerne le trajet pour St-Élie, c’est fait, l’an prochain, on devrait passer par le chemin ST-Paul et autres pour rejoindre le Parc. Enfin, il y a un projet via la ville de Shawinigan, St-Mathieu avec des pourparlers avec le gouvernement pour répondre à leurs exigences et demander des octrois pour le réaliser.

Johanna Laflamme : Je me répète, une piste cyclable c’est incontournable…malheureusement,  on n’a qu’à regarder  le pavage de la 351 vers St-Elie pour se rendre compte qu’il n’y a pas eu de planification concertée.

Josée Magny : C’est une des raisons qui fait que le chemin St-Marc a été refait. Le désir d’aller se rattacher à la piste cyclable de st Élie était important. Un réseau de piste cyclable en bordure de route reste à mon avis la meilleure des solutions étant donné l’impossibilité de faire ou d’entretenir une piste sur des terres ne nous appartenant pas et n’ayant aucun droit de passage signé et notarié notamment la route verte en forêt. 

Claude McManus : En pavant le chemin St-Marc (route 351 vers St-Élie) nous avons prévu une piste cyclable. Toutefois, le marquage a été mal exécuté ce qui sera corrigé au printemps. Nous devrions avoir alors, une piste cyclable reconnue de un mètre chaque côté. Nous sommes aussi en démarche pour remettre la route verte en fonction. Cette piste longera la route 351, de Shawinigan à St-Mathieu. Elle aura une largeur de 1.5 mètres de chaque côté. Le Ministère a déjà donné son accord de principe et ajustera au besoin, la bordure de la route au fur et à mesure des travaux à réaliser. Par la suite, la route verte se rendra jusqu’au parc National suivant un tracé réalisable qui reste à confirmer. Ce dossier chemine bien à l’heure actuelle. Ce dossier était sous ma responsabilité, je souhaite donc sa réalisation dans un court terme.

Claude Mayrand : Avec la réfection du chemin St-Marc nous venons de nous relier à la route verte menant à St-Élie, nous avons une piste cyclable à l’intérieur des limites de St-Mathieu mais il faudra l’entretenir.

Jean-Thomas Nadeau : Je me répète, une piste cyclable c’est incontournable… il faudra une étude de toutes les rues de la Municipalité afin de vérifier l’espace nécessaire pour faire le pavage de la piste.

7.3       Au-delà des modifications au règlement de zonage, quelle devrait, selon vous, être la politique de Saint-Mathieu-du-Parc à l’égard des terrains de camping (implantation, aménagement, règles de conduites, etc.) ?

Daniel Bourassa : Toute nouvelle implantation doit être faite à une distance raisonnable de toute zone habitée.

Renald Grenier : Il est important d’encourager les investisseurs à venir s’établir chez nous. Le tourisme c’est notre force à développer. Il faut miser sur ce qu’on a en place pour créer de véritables filières de développement : culture, tourisme, etc. Il y aurait des retombées économiques pour la municipalité.

Toutefois, il est important de considérer les règlements en place concernant les berges, le bruit, le respect des directives des feux à ciel ouvert, et j’en passe…

Jacques Lachance : Il y a déjà des règlements de faits, il faut voir si cela répond aux besoins et faire appliquer ces règlements, mais il ne faut pas oublier aussi que l’on doit les laisser vivre, car ces gens ont investi de l’argent et cela fait partie du développement.

Johanna Laflamme : Il y a déjà des règlements d’établis et ils doivent être respectés.

Josée Magny : Il n’y a pas beaucoup de zones récréatives à St-Mathieu-du-parc donc je ne crois pas que cela devienne un problème. De plus, la réglementation qui encadre ceux-ci est assez restrictive et le personnel en place veille à ce qu’elle soit respectée.

Claude McManus : Nos règlements municipaux nous permettent dans l’ensemble d’encadrer suffisamment ce type d’activité. Notre personnel intervient généralement assez efficacement lorsqu’il constate des anomalies et s’efforce de répondre aux plaintes le plus rapidement possible.

 Claude Mayrand : Les terrains de camping ne font pas exception aux règlements sur l’urbanisme les règlements sont là pour tout le monde. Et je sais par expérience car je fais du camping moi-même que les propriétaires de terrain sont des gens responsables respectueux de l’environnement et font respecter leurs règles de conduite (ex couvre-feu à 9.00hrs pm).

Jean-Thomas Nadeau : Les campings c’est un monde que je ne connais pas et donc je devrai m’y intéresser, mais ce que je peux dire c’est que tout endroit public doit se munir de règles de conduite.

7.4       Considérez-vous que Saint-Mathieu-du-Parc devrait se doter d’une charte des paysages ?  Si oui, est-ce dans vos intentions de la doter d’une telle charte durant votre mandat ?

Daniel Bourassa : Ce ne sera pas mon cheval de bataille.

Renald Grenier : On doit appliquer le règlement pour l’abattage des arbres en bordure des routes qui existe déjà.

Jacques Lachance : Non, il faut considérer que ces terrains appartiennent à des gens, de faire appliquer les règlements s’il y a lieu, mais avant de faire une charte, il faut voir les conséquences que ça va donner, alors il faut consulter les propriétaires et voir ce qui est possible d’être fait, il faut considérer qu’ils sont quand même chez eux. La démocratie ça existe, alors on doit commencer par discuter avec eux.

Johanna Laflamme : Je n’en vois pas l’utilité pour le moment.

Josée Magny : Pas pour le moment.

Claude McManus : Comme tel, nous n’envisageons pas de réaliser une charte des paysages. Par contre, dans la révision de notre plan d’urbanisme, prévu dans les prochaines quatre années, il est pensable que cet item soit abordé.

Claude Mayrand : Ce n’est pas une priorité pour le moment, la réalisation des projets déjà amorcés me préoccupe beaucoup plus.

Jean-Thomas Nadeau : Sûrement, mais pour moi ce n’est pas une priorité puisque si on parvient à faire des petites terrasses ou autre aire de loisirs au sein du village, on améliore le paysage et le bien-être des citoyens.

 

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