26 octobre 2013

Insectes piqueurs ?


Insectes piqueurs

La question de l’épandage d’un agent biologique contre la prolifération des insectes piqueurs soulève un grand intérêt, pour ne pas dire les passions, au sein de la communauté mathieusaintoise.  Certains sont fortement favorables, tandis que d’autres sont farouchement contre.  La Municipalité de Saint-Mathieu-du-Parc ne peut pas et ne doit pas se soustraire au débat.

9.1       Comptez-vous organiser un référendum sur la question au cours de votre mandat ?

 Daniel Bourassa : Non

 Renald Grenier : Non, parce qu’il y a déjà eu une rencontre publique des citoyens, été 2012, et 18 personnes ont exprimées leurs opinions et inquiétudes. Une seule personne était en accord avec ce projet. Si j’ai bien compris lors de la rencontre, pour que ce projet soit efficace, le projet nécessite l’accord de la majorité les propriétaires surtout l’accord de ceux qui possèdent les plus grands terrains dans le territoire de la municipalité.

La passion et l’intérêt que vous décrivez dans votre question, ne se sont pas manifestés lors de la réunion.
 

Jacques Lachance : C’est toujours possible, mais il faut que ça se fasse avec respect, autant ceux qui sont pour, que ceux qui sont contre, cependant, il y a un coût à tout cela et c’est récurant à chaque année, et ce montant peut aller jusqu’à $200,000.00 par année.

Johanna Laflamme :

Josée Magny :

Claude McManus :

Claude Mayrand : un référendum ne serait pas la bonne solution premièrement cela coûte aussi cher qu’une élection environ $35,000.00 avec une participation citoyenne de moins de 50%.

Jean-Thomas Nadeau : En ce qui me concerne la question des insectes piqueurs est réglée…. Il y a déjà eu information consultation et prise de position. Ce fut un refus de la part des citoyens.

9.2       Sinon, quelle est votre opinion sur la question ?

Daniel Bourassa : Pas contre si c’est gratuit.

Renald Grenier : C’est un projet dispendieux.

Il faut surtout ne pas oublier que les citoyens auraient une taxe supplémentaire récurrente annuelle de 160,00$.

À mon avis les contribuables sont déjà assez taxés.

Même Shawinigan remet en question l’épandage. Leur décision sera prise avec les élections.

En conclusion, je constate que dans les questions qui préoccupent le Regroupement des associations, il n’y a aucune question concernant le budget et la dette.

Ce sont pourtant les deux principaux éléments à examiner avant toute chose pour une saine gestion.

Ajouter de nouveaux services fera augmenter les taxes.

Il ne faut pas oublier que selon l’étude des HEC, le coût des services municipaux à Saint-Mathieu-du-Parc est de 59% plus cher que le coût moyen des services municipaux des autres municipalités du Québec.

Ceci est pour moi, une très grande préoccupation.

Jacques Lachance : Sinon, il ne faut pas oublier que les moustiques ont toujours été là, est-ce devenu la priorité numéro 1? Il faut voir et regarder l’impact sur les taxes.

Johanna Laflamme : En ce qui me concerne, la question des insectes piqueurs est réglée…Il y a déjà eu information,  consultation et  prise de position.  Ce fut un refus de la part des citoyens.   Pour moi, les insectes font partie du paysage.

 Josée Magny :

 Claude McManus : Suite à de nombreuses discussions, rencontres et réflexions sur ce sujet, il est fa cile de conclure que la population de St-Mathieu-du-Parc se montre très divisée. Toutefois, après analyse, le Conseil est venu rapidement à la conclusion que nous n’avons pas les moyens financiers pour supporter un traitement contre les insectes piqueurs à chaque année. De plus, le traitement ne  pourra être efficace à 100% dans toute la municipalité étant donné que le parc National refuse l’accès sur son territoire  ainsi que de nombreux propriétaires terriens importants. Dans les circonstances, je suis d’avis qu’il est inutile de tenir un référendum sachant très bien que le Conseil n’y donnera pas suite particulièrement par manque de ressources financières.

 Claude Mayrand : Ce que j’ai toujours proposé et qui m’a toujours été refusé c’est d’envoyer par la poste à tous les payeurs de taxes une lettre accompagnée d’une enveloppe réponse leur demandant leur avis sur la question (Pour ou contre le contrôle biologique des insectes piqueurs) avec le coût en $ d’une telle opération) l’enveloppe retour devra être envoyée à un vérificateur externe pour compilation.

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