25 octobre 2013

Développement économique ?


Développement économique

8.1       Que devrait faire la Municipalité pour :
a) soutenir le projet de l’Éco-village (on devrait dire plutôt l’éco-quartier) ?

Daniel Bourassa : fournir les services, bon pour la densification

Renald Grenier : Il faut soutenir et approuver le développement possiblement en accordant un crédit de taxes pour toutes nouvelles constructions, on pourrait développer un programme avec éthique, transparence et sans conflit d’intérêt, comme il en existe ailleurs. C’est très important de développer ce quartier car ceci nous permettrait d’augmenter les revenus de la municipalité.

Ça reste à regarder.

Par contre je suis toujours d’avis que c’est au promoteur de compléter les infrastructures.

Jacques Lachance : Il y a déjà eu des discussions à ce sujet, le projet suit son cours, car il y a une possibilité d’un bon développement.


Johanna Laflamme : D’abord, on devra mettre sur pied un plan d’urbanisme afin de construire un réseau routier adéquat.

Josée Magny : Une première approche a été faite avec les résidents de l’éco quartier afin de trouver une solution pour continuer le développement de ce projet. Par contre, ceci doit absolument passer par la création du chemin.

Claude McManus : Ce projet me semble important pour le développement de notre village. Actuellement plusieurs terrains ont été vendus, mais il n’y a pas de routes d’accès. C’est la même situation pour les quelques trente terrains encore à vendre. Si l’on veut que ce secteur se développe, il sera nécessaire que la municipalité s’implique en ce sens. Toutefois, des discussions doivent se tenir avec les gens de l’éco-quartier pour définir exactement les règles de construction et les enchâsser dans un plan d’aménagement d’ensemble et pour définir ensemble le type de partenariat à exercer. Je pense aussi qu’il y aurait lieu d’évaluer la pertinence d’installer un réseau de traitement des eaux usées commun, considérant le nombre important de résidences supplémentaires qui risquent de voir le jour. 

 Claude Mayrand : En ce qui concerne l’éco-quartier il faut continuer la discussion avec la SENC De feuilles en aiguilles pour la construction de chemins, sans chemins il n’y aura aucun développement.

Jean-Thomas Nadeau : D’abord, on devra mettre sur pied un plan d’urbanisme afin de construire un réseau de rues adéquat.

b) favoriser la venue de nouvelles familles ?

Daniel Bourassa : Le gymnase à venir est un excellent moyen.

Renald Grenier : Pour favoriser la venue des nouvelles familles on pourrait instaurer un programme de crédit de taxes aux nouvelles constructions (2 à 3 ans), toujours en fonction de notre budget.

Jacques Lachance : Oui, analyser les possibilités à accorder.

Johanna Laflamme : Publiciser l’Eco-quartier dans les médias.

Josée Magny : Soutenir notre école, le gymnase est aussi un incitatif intéressant pour les jeunes familles. Maintenir un camp de jour sécuritaire et abordable, je pense aussi que la municipalité lors de ce nouveau mandat devrait se doter d’une politique familiale.

Claude McManus :

Claude Mayrand : Mais pour se faire ça prend des attraits, et nous en avons plusieurs, école alternative de bonne réputation, la construction d’un gymnase, un centre communautaire,  amphithéâtre naturel, de nombreux sentiers pédestres, une nature sans pareil avec de nombreux lacs, un environnement exceptionnel dans un milieu sécuritaire.

Jean-Thomas Nadeau : Publiciser l’éco-quartier dans les médias.

c) favoriser l’établissement d’un poste d’essence ?

Daniel Bourassa : Pas facile compte tenu du fait que la plupart des stations d’essence s’établissent avec un dépanneur donc on ne peut privilégier un commerce par rapport à un autre. On ne peut se substituer à un entrepreneur.

Renald Grenier : Il faut rechercher un promoteur, possiblement offrir un crédit de taxes pour quelques années.

Jacques Lachance : La Municipalité est loin d’être contre, mais comme ailleurs, il faut trouver un promoteur qui veut investir.

Johanna Laflamme : Créer une coopérative ou autre.

Josée Magny : Lors d’une formation que j’ai suivie en urbanisme sur les Pia (plan d’intégration architectural) et la revitalisation du noyau villageois, j’ai constaté que plusieurs autres municipalités avaient ou rencontraient les mêmes problèmes que nous à ce niveau. Certaines d’entre elles ont eu la volonté d’y remédier en instaurant des incitatifs financiers ou autres solutions sous forme de projets. Ceux-ci se sont relevés et ont revitalisé leur village de façon importante. Cette formation m’a grandement inspirée. Je ne peux vous exposer tous les détails de celle-ci, mais il y a là un beau projet à développer afin de favoriser le développement et l’amélioration de notre noyau villageois.

Claude McManus :

Claude Mayrand : La municipalité peut apporter tout le support nécessaire auprès du CLD ou de la SADC à toute personne demandant son aide, mais ne peut pas intervenir financièrement sous quelque forme que ce soit. Pour cela il faudrait avoir une corporation de développement et nous n’en avons pas.

De plus ce genre de commerce exige beaucoup de volume en vente d’essence pour être rentable, il faut obligatoirement qu’il soit jumelé à un autre commerce.

Jean-Thomas Nadeau : Créer une coopérative.

d) favoriser le développement de nouveaux commerces ou la croissance et l’amélioration des commerces existants ?

Daniel Bourassa : Aménagement invitant pour le cœur du village.

Renald Grenier : Faire de la publicité, mettre en valeur notre village (fleurs, décoration), utiliser les medias sociaux, créer des évènements rassembleurs. Ex. : exposition de voitures antiques.

Jacques Lachance : Pour le développement de nouveaux commerces, il faut les attirer avec des articles positifs dans les journaux, et montrer que l’on est uni entre nous, pour la croissance, il faut autant que possible encourager le local et le faire connaître.

Johanna Laflamme : Aider les commerces existants  en  révisant les taxes, en apportant des projets d’expansion et si possible,  une exemption de taxes pour la première année d’activités…surtout y mettre la volonté de faire les choses…

Josée Magny :

Claude McManus : Concernant ces trois éléments, je crois qu’il est possible de mettre en place des incitatifs pour attirer des nouvelles familles et nouveaux commerces. Par contre, le développement de l’Éco-quartier, de Bicolline et de L’Art de vivre risque beaucoup plus de motiver les investisseurs à venir s’implanter à St-Mathieu-du-Parc. Plus le développement sera important, plus les besoins de commerces de proximité se feront sentir et deviendront attrayants pour un investisseur.

Claude Mayrand : Le conseil pourrait envisager un congé de taxe sur une certaine période.

Pour attirer de nouveaux commerces il faut créer un climat  et une atmosphère de positivité et on est loin d’être rendu là. Attitude de certains commerçants déjà en place fait en sorte qu’ils éloignent les investisseurs.

 Jean-Thomas Nadeau : Aider les commerces existants en révisant les taxes, en apportant des projets d’expansion et si possible, une exemption de taxes pour la première année d’activités… surtout y mettre la volonté de faire les choses…

8.2       Croyez-vous qu’il serait possible de doter la Municipalité d’un dispensaire où les citoyens pourraient avoir accès aux services d’un infirmier ou d’une infirmière quelques jours par semaine pour des soins de première ligne ? Si oui, quelles démarches comptez-vous faire pour qu’un tel projet voie le jour ?

Daniel Bourassa : Honnêtement, ça ne fait pas partie de mes compétences.

Renald Grenier : Oui ce serait souhaitable, mais c’est la venue d’un médecin qu’il faut encourager. On pourrait essayer de faire une coopérative comme d’autres villages l’ont fait.

Jacques Lachance : Oui, j’ai parlé d’une solution possible avec le conseil, première démarche, voir quels médecins seraient intéressés et il y a des solutions.

Johanna Laflamme : L’idée est intéressante mais considérant qu’il y a déjà un dispensaire à St-Elie (8 kilomètres de Saint-Mathieu)  il n’y a pas urgence  pour ce projet.

Josée Magny : oui, je pense que le meilleur endroit pour allez chercher l’information serait le centre de santé et services sociaux de l’énergie CSSS.

 Claude McManus : Je ne crois pas qu’un tel projet soit une priorité pour St-Mathieu. Il peut se présenter une opportunité, mais la municipalité ne doit pas investir indûment dans un tel projet. Pour ma part, je ne crois pas sage de doubler les services avec Shawinigan, cette dernière étant située tout proche de nous. Il serait plus profitable pour nos citoyens, de leur offrir des services complémentaires comme par exemple un service de transport collectif adapté à notre localité pour se rendre à Shawinigan.

 Claude Mayrand : Tout est possible si on y met le prix (local gratuit tout aménagé et une entente de compensation monétaire car ils sont payés à l’acte).

Jean-Thomas Nadeau : Je m’en fais une priorité. Pour ce faire, j’irai consulter les autorités médicales et municipales afin de m’informer des démarches à suivre pour implanter un tel service qui est essentiel à toute municipalité qui se respecte.

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