Information des citoyens
Daniel
Bourassa : Je pense que des améliorations
peuvent être faites, particulièrement en ce qui concerne les communiqués de
dernière minute.
Renald
Grenier : Comme j’ai déjà mentionné
précédemment il est essentiel que le maire ait sa propre adresse courriel. Tel
que mentionné dans mon programme, le meilleur moyen de communiquer avec les
citoyens est de créer une banque d’adresses courriels, peut être un compte
Facebook, rejoindre les citoyens par la poste et dans les cas urgents, par
livraison en main propre.
Jacques
Lachance : Oui, dans un premier temps,
cependant, il y a toujours de la place pour améliorer la communication.
Johanna Laflamme : Pour la population saisonnière, il serait important et urgent de les aviser des actions et des décisions des élus, de la même façon que les résidents permanents le sont par courrier et internet.
Josée Magny :
Claude McManus : Il faut améliorer nos outils de diffusion comme le Reflet et les différents messages. Il est facile de rejoindre les résidents permanents et plus difficile et coûteux de rejoindre les saisonniers. Par contre, la voie passe par l’internet (courriel) ce qui ferait baisser les coûts des envois postaux. Pour ma part, je crois que différents autres moyens pourraient être utilisés pour assurer la diffusion de l’information, comme un panneau électronique placé bien à la vue dans le centre du village.
Johanna Laflamme : J’ai constaté qu’il y a déjà beaucoup de travail de fait à cet égard, et pour moi Le Reflet est un bon média pour sensibiliser les citoyens à leur environnement. Il y a toujours matière à amélioration ne serait-ce que dans les petits gestes quotidiens, comme par exemple : les pêcheurs fumeurs et leurs mégots dans le lac ainsi que les promeneurs en compagnie de leurs chiens et leurs excréments.
Josée Magny : Nous pourrions créer un calendrier environnemental que l’on distribue avec des semaines et journées attribuées à divers sujets préoccupants.
Claude McManus : Pas seulement sur les visiteurs, mais bien sur l’ensemble de notre population. Je ne crois pas que toute la population ait adopté un mode de vie compatible avec nos attentes en regard de la protection de l’environnement et la qualité de vie. Sur ce point, il faut travailler en partenariat avec les différents organismes touchés par cet aspect, dont les associations de lacs. Pour ma part, les citoyens doivent s’approprier cette conscientisation et se comporter comme tel. Je ne crois pas que seuls des lois ou règlements peuvent agir dans ce domaine.
Johanna
Laflamme : Oui, je partage entièrement ce
constat, surtout en ce qui a trait aux convocations de dernières minutes, qui
semblent être le mode de fonctionnement habituel de ce conseil.
Josée
Magny : (3.1 et 3.2) Améliorer la
communication est un point important et peut grandement aider à venir contrer
la désinformation. Monsieur McManus a manifesté l’idée de se doter d’un panneau
lumineux où l’on peut interchanger et créer des messages adressés à la
population. Installé au village les gens passent et seraient en mesure de voir
facilement toute l’information qui leur est destinée. (Réunion spéciale,
consultations, séances, évènements, etc.) De cette manière, un plus grand
nombre de personnes sera rejoint et la participation n’en serait que plus grande
et c’est notre volonté. D’autres méthodes pourraient aussi être envisagées.
Claude
McManus : Oui je partage ce constat et j’ai
même fait une priorité de cet item, d’augmenter la communication avec les
citoyens. Nos actions sont peu connues et je crois qu’il serait profitable pour
tous que la diffusion soit meilleure.
Claude
Mayrand : Oui il y a toujours place à
l’amélioration. Depuis des années que nous demandons aux gens de nous faire
parvenir leur adresse courriel mais très peu le font. Lors du dernier envoi
postal pour les comptes de taxes seulement 25 citoyens ont envoyé leur adresse
courriel. Le site internet a été refait
et est mis à jour presque chaque jour, les procès-verbaux des séances publiques
sont sur le site le lendemain, et beaucoup d’autres informations. C’est très
différent de l’ancienne administration. Le Reflet est publié 4 fois par année
et il se retrouve à chaque parution sur le site internet. Là où il y a un problème c’est que l’on doit
convoquer une séance spéciale d’urgence, j’admets que 72 hrs c’est court et que
les méthodes de transmission pour informer les citoyens d’une telle séance sont
limitées au site internet, et aux endroits publics. Je suis très ouvert à ce
qu’un comité soit formé pour étudier et améliorer la situation.
En ce qui concerne la protection de l’environnement nous avons fait tous
ensemble de très grand pas. Comité d’harmonisation, embauche d’une responsable
à plein temps à l’environnement. Nous sommes l’une des rares municipalités à
avoir ce service. Règlements sur la protection de la bande riveraine. Règlement
sur les résidences de tourisme. L’environnement est une éducation collective et
tous nous devons y participer.
Jean-Thomas
Nadeau : Je ne connais pas suffisamment les
moyens de communication de la Municipalité via les citoyens. C’est en y
travaillant que je vais voir comment on peut améliorer la situation.
3.2 Que
comptez-vous faire pour améliorer celle-ci, notamment avec la population
saisonnière ?
Daniel
Bourassa : Je pense que cette question nous
mène à la question suivante à laquelle je réponds oui.
Renald
Grenier : Il faut améliorer le site internet
et avoir de la rigueur dans les mises à jour.
Jacques
Lachance : Il y a toujours internet car nous
avons déjà demandé que les saisonniers nous donnent leur courriel, de plus il
faut absolument rejoindre nos saisonniers et trouver la bonne façon.
Johanna Laflamme : Pour la population saisonnière, il serait important et urgent de les aviser des actions et des décisions des élus, de la même façon que les résidents permanents le sont par courrier et internet.
Josée Magny :
Claude McManus : Il faut améliorer nos outils de diffusion comme le Reflet et les différents messages. Il est facile de rejoindre les résidents permanents et plus difficile et coûteux de rejoindre les saisonniers. Par contre, la voie passe par l’internet (courriel) ce qui ferait baisser les coûts des envois postaux. Pour ma part, je crois que différents autres moyens pourraient être utilisés pour assurer la diffusion de l’information, comme un panneau électronique placé bien à la vue dans le centre du village.
Jean-Thomas
Nadeau : Pour la population saisonnière, il
serait important et urgent de les aviser des actions et des décisions des élus
de la même façon que les résidents permanents le sont par courrier et internet.
3.3 Croyez-vous
que la Municipalité devrait chercher à établir une liste des adresses de
courriel de ses contribuables et ajouter cet outil à sa panoplie de moyens de
communication avec les citoyens ?
Daniel
Bourassa : Les citoyens pourraient nous fournir
leur courriel sur une base volontaire.
Renald
Grenier : J’ai déjà mentionné ce point dans ma
lettre envoyé au Nouvelliste le 17 octobre dans la section opinion.
C’est déjà dans mon programme.
Jacques
Lachance : Oui comme je l’ai expliqué plus
haut, c’est très important.
Johanna
Laflamme : C’est un outil essentiel… la municipalité devrait envoyer par courrier
son adresse internet ce qui permettrait aux citoyens (résidents et saisonniers)
de communiquer aisément avec les élus et les employés municipaux et par le fait
même mettre à jour la liste d’adresses internet.
Josée
Magny : Nous en avons déjà
parlé ensemble et cette idée a déjà été soulevée.
Claude
McManus : J’ai personnellement demandé que ce
travail soit fait. Une demande a donc été faite aux citoyens, dans l’envoi des
taxes et dans le Reflet pour obtenir les courriels de chacun, mais le tout n’a
pas obtenu le succès escompté. Je compte donc mettre plus d’efforts afin que ce
travail soit réalisé et opérationnel.
Jean-Thomas
Nadeau : C’est un outil essentiel… la
municipalité devrait envoyer par courrier son adresse internet ce qui
permettrait aux citoyens de communiquer aisément avec les élus et les employés
municipaux et par le fait même mettre à jour la liste d’adresses internet.
3.4 Croyez-vous
que le Municipalité peut faire plus pour éduquer sa population et sa population
de transit, à la protection de l’environnement et de la qualité de vie des
concitoyens ? Si oui, quels éléments,
selon vous, mériteraient une attention spéciale, au cours des quatre prochaines
années. Enfin, de quelle(s) façon(s),
une action de sensibilisation sur ces points devrait-elle être menée ?
Daniel
Bourassa : Pas facile! Peut-être distribuer un
genre de code d’éthique à remettre aux propriétaires locateurs inscrits comme
gîte pour les gens de passage.
Renald
Grenier : On ne peut pas se substituer au
ministère de l’environnement. La municipalité peut distribuer un document pour
faire un rappel des règlements concernant l’utilisation d’engrais, des feux à
ciel ouvert, la conformité des fosses septiques, etc. mais la municipalité n’a
pas le mandat d’éduquer la population, c’est l’affaire de tous.
On peut réagir à un cas particulier qui serait problématique.
Jacques
Lachance : Oui, par le moyen du reflet
municipal et via internet. Insister pour que les gens consultent notre site
internet, par un premier envoi postal à tout le monde et plus de gens aux
assemblées publiques.
Johanna Laflamme : J’ai constaté qu’il y a déjà beaucoup de travail de fait à cet égard, et pour moi Le Reflet est un bon média pour sensibiliser les citoyens à leur environnement. Il y a toujours matière à amélioration ne serait-ce que dans les petits gestes quotidiens, comme par exemple : les pêcheurs fumeurs et leurs mégots dans le lac ainsi que les promeneurs en compagnie de leurs chiens et leurs excréments.
Josée Magny : Nous pourrions créer un calendrier environnemental que l’on distribue avec des semaines et journées attribuées à divers sujets préoccupants.
La Semaine du développement durable par exemple la
première semaine d’avril. Qui fonctionnerait comme un appel aux projets.
La Semaine de la réduction des déchets en novembre par
exemple. Cette semaine
thématique fonctionnerait également sur un système d’appel aux projets. Elle
serait ouverte aux associations, écoles, collectivités territoriales,
La Semaine de la mobilité durable pour convaincre le
brave citoyen communautaire de mettre le bémol sur les transports polluants.
Ensuite les journées mondiales pourraient être
soulignées, comme la journée mondiale du climat, la journée mondiale de l’eau
se tient le 22 mars de chaque année et bien d’autres. Je soumets cette idée,
mais je sais que bien d’autres moyens seraient possibles pour sensibiliser la
population en discutant ensemble.
Claude McManus : Pas seulement sur les visiteurs, mais bien sur l’ensemble de notre population. Je ne crois pas que toute la population ait adopté un mode de vie compatible avec nos attentes en regard de la protection de l’environnement et la qualité de vie. Sur ce point, il faut travailler en partenariat avec les différents organismes touchés par cet aspect, dont les associations de lacs. Pour ma part, les citoyens doivent s’approprier cette conscientisation et se comporter comme tel. Je ne crois pas que seuls des lois ou règlements peuvent agir dans ce domaine.
Jean-Thomas
Nadeau : Il y a toujours matière à
amélioration, ne serait-ce que de ne pas jeter leurs mégots de cigarette à
l’eau ou par terre, de ramasser les excréments de leur chien. Le Reflet est une
bonne façon de sensibiliser les citoyens à ces petits gestes de bienséance.
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