Plan directeur de développement durable
Daniel
Bourassa : Préciser le mandat du comité
d’urbanisme avec comme mandat d’identifier les actions nécessaires afin de
mettre en application ce plan directeur. Au conseil d’entériner.
Il y a plusieurs points dans le plan directeur de développement durable
qui débordent des champs de compétence de la municipalité (ex : la
cartographie et la classification écologique du territoire, l’étude des espèces
et leurs habitats sur le territoire de la municipalité).
Claude
Mayrand : Il faut cibler des objectifs par
ordre de priorité et mettre tout en œuvre pour les réaliser et impliquer les
citoyens dans la prise de décision que ce soit par consultation ou rencontre de
groupes.
Jean-Thomas
Nadeau : C’est un dossier très important pour
la Municipalité. Le nouveau Conseil devra étudier en priorité ce plan et à
l’unanimité donner un mandat précis et un pouvoir décisionnel au Comité si on
veut arriver à redonner une couleur à notre Municipalité. Pour le financement,
nous devrons faire des demandes de subventions au Gouvernement et au Privé.
Nous pourrons communiquer avec les ministères concernés.
La municipalité a plusieurs dossiers à gérer de front. Nous pourrions
aller chercher des octrois s’il en existe, essayer de recruter des
investisseurs pour la revitalisation du village (Poste d’essence, restaurants,
résidence pour aînés, etc.)
Le plan de développement durable est un très beau rapport, par contre il
aurait dû être accompagné d’une estimation des coûts pour chacune des
activités à réaliser.
Nous sommes une petite municipalité. Il faut convenir que c’est
l’affaire de tous si l’on veut réussir dans ces projets.
Jacques
Lachance : Lorsque le CCU nous donne les
documents, quand il y a des demandes, on considère toujours leurs
recommandations, et le plan de développement durable devra être considéré, même
un des membres du comité du développement durable a été approché pour en faire
partie. Il faut être conscient que le CCU n’est pas là pour rien, de plus, le plan
de développement durable est devenu la vision stratégique, c’est là que l’on
voit son importance.
Johanna
Laflamme : C’est un dossier très important
pour la Municipalité. Le nouveau Conseil devra étudier en priorité
ce plan et à l’unanimité donner un mandat précis et un pouvoir décisionnel au
Comité, si on veut arriver à redonner une couleur à notre Municipalité. Pour le financement, nous devrons faire des
demandes de subventions au Gouvernement et au Privé.
Josée
Magny : Le comité a
travailler et nous a fourni un plan de développement durable qui rejoignait les
mêmes préoccupations que le conseil avait. C’est une bonne nouvelle de savoir
que le constat était le même. La mécanique de fonctionnement reste à voir. Le
C .C .U a été ciblé et une personne membre du comité de plan de
développement durable fait maintenant partie du C .C .U. Je crois
toutefois que nous devrons reconsidérer la question lors de notre prochain
mandat afin que le guide qui nous a été fourni soit suivi.
Claude
McManus : Le Conseil a déjà identifié des
actions dans son plan stratégique de développement pour les cinq prochaines
années. Plusieurs, sinon la majorité proviennent directement du plan de
développement durable. Nous nous engageons ainsi à mettre en œuvre le plan de
développement durable et d’en être imputable. J’adhère donc à cet engagement.
Nous avons nommé le Comité consultatif d’urbanisme (CCU) pour suivre de
déroulement de nos engagements et des projets qui pourront s’en dégager. Je
crois qu’il reste à préciser les mandats et évaluer si nous pouvons aller plus loin
dans l’engagement citoyen dans ce dossier. Selon le comité de développement
durable et la municipalité, il était important d’adopter ce plan. Comme le tout
a été adopté à la fin de notre mandat, il reste à partager la teneur des
propositions qui n’ont pas été retenues, c’est ce que je me propose de faire
avec toutes les personnes impliquées dans le cheminement de la réalisation du
plan de développement durable. En attendant, nous avons inclus une
représentante du comité de développement durable au CCU.
Lorsqu’un projet a été choisi, il faut regarder s’il peut être admissible
à certains programmes gouvernementaux. Par la suite on demande une rencontre
avec notre député ou des fonctionnaires que l’on connaît pour qu’ils nous
dirigent au bon endroit.
Chaque geste que nous posons a un impact direct ou indirect au plan de
développement durable. Des investissements dans notre réseau routier EX : piste cyclable car nous pouvons
accueillir un nouveau genre de tourisme et accroître notre économie.
Revitalisation et embellissement du village de nouveaux investissements.
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